Il passo avanti più importante della Nazionale...
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Secondo me il passo avavnti piu grande della nostra nazionale è che siamo diventati credibili nel 6N... e basta leggere i commenti nei siti internazionali (come fai tu, leggo spesso i tuoi interventi sul forum dell'IRB) per accorgersene.
<BR>Ricordo l'anno scorso nei pronostici prima del 6n molte persone scherzare sull' Italia con pronostici tipo Italia- Irlanda 0-100000, quest' anno molti ci davano vincenti contro il Galles...
<BR>Ricordo l'anno scorso nei pronostici prima del 6n molte persone scherzare sull' Italia con pronostici tipo Italia- Irlanda 0-100000, quest' anno molti ci davano vincenti contro il Galles...
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<!-- BBCode Quote Start --><TABLE BORDER=0 ALIGN=CENTER WIDTH=85%><TR><TD><font size=-1>Quote:</font><HR></TD></TR><TR><TD><FONT SIZE=-1><BLOCKQUOTE>Secondo me il passo avavnti piu grande della nostra nazionale è che siamo diventati credibili nel 6N..</BLOCKQUOTE></FONT></TD></TR><TR><TD><HR></TD></TR></TABLE><!-- BBCode Quote End -->
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<BR>Questo e' senz'altro il passo positivo di quest'anno; l'aumento della nostra credibilita' internazionale.
<BR>Forse questo e' un piccolo passo per far crescere anche tutto il movimento italiano che sostiene la nazionale...
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<BR>Questo e' senz'altro il passo positivo di quest'anno; l'aumento della nostra credibilita' internazionale.
<BR>Forse questo e' un piccolo passo per far crescere anche tutto il movimento italiano che sostiene la nazionale...
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A proposito di credibilità: questo è l'articolo di Libération sul pareggio di Cardiff. Chiedo perdono a coloro che non conoscono il francese, ma non ho tempo per la traduzione!
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<BR>Au pays de Galles, l'Italie fait face
<BR>Match nul 18-18: premier déplacement sans défaite pour les Transalpins.
<BR>
<BR>Par Serge LOUPIEN
<BR>lundi 13 mars 2006
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<BR>l y a quinze jours, à l'issue du match France-Italie à Saint-Denis, Pierre Berbizier mettait l'accent sur la performance de l'ouvreur de la Squadra Azzurra (et de Perpignan) Ramiro Pez, qui, par la qualité de son jeu au pied, avait permis non seulement de maintenir les Bleus sous pression pendant 40 minutes mais surtout de mener au score (12-8) à la mi-temps. Samedi, pourtant, contre le pays de Galles à Cardiff, le successeur de Diego Dominguez a failli. Et les 14 points qu'il a abandonnés en route (trois pénalités, une transformation et un drop ratés) ont pesé lourd à l'arrivée. Car, sans la maladresse inhabituelle de leur buteur, les Italiens auraient réussi l'exploit de battre les Gallois en leur propre Millennium Stadium. L'endroit précis où, la saison précédente, ces derniers ont remporté le Grand Chelem contre l'Irlande, dans une liesse populaire indescriptible après vingt-sept ans de disette. Dans le même temps, désintégrée à Rome par la France, l'Italie se voyait offrir la cuiller de bois. C'est dire les progrès accomplis par l'équipe transalpine depuis que l'entraîneur français a succédé à John Kirwan.
<BR>
<BR>Héroïsme. Car si l'Italie n'a pas battu le champion sortant (qui n'est pas au mieux, il est vrai), elle n'a pas non plus cédé face à lui. Et le 18-18 obtenu à Cardiff met ainsi un terme à une série de défaites équivalant au nombre des matchs qu'elle a disputés à l'extérieur, depuis son intégration dans le tournoi 2000.
<BR>
<BR>Au coup de sifflet final, les joueurs de Marco Bortolami ont donc fêté ce nul comme une victoire, le capitaine italien lui-même résumant la satisfaction générale : «Nous nous améliorons à chaque nouvelle sortie et notre défense est de plus en plus performante.»
<BR>
<BR>Pierre Berbizier, de son côté, n'a pas cherché à dissimuler le plaisir que lui ont apporté ses joueurs, au comportement souvent héroïque, à l'image de celui affiché par les deux pensionnaires du Stade français : le centre Mirco Bergamasco (élu «homme du match») et le flanker Sergio Parisse. «Ils ont montré beaucoup de bravoure, a admis le théoricien de Pinas ; notamment en première mi-temps, lorsqu'ils étaient dominés.»
<BR>
<BR>«Bravoure», c'est également le mot choisi par Scott Johnson pour décrire le comportement des Italiens. Mais l'entraîneur gallois par intérim d'ajouter néanmoins, avec une pointe de regret : «Nous aurions dû boucler ce match bien avant la mi-temps.»
<BR>
<BR>Marge de progression. Reste que parmi les six participants au tournoi l'Italie est celui qui affiche la marge de progression la plus spectaculaire et peut désormais se targuer d'inspirer un infini respect à ses concurrents. D'autant que lors de ses trois premiers matchs (Irlande, Angleterre, France) elle a viré en tête à l'heure de jeu ; cette fois encore, Stephen Jones, l'ouvreur gallois, n'égalisant qu'à la 58e.
<BR>
<BR>Samedi prochain, l'Italie reçoit l'Ecosse, battue à Dublin 15-9. «Ce match, assure Marco Bortolami, la Squadra a bien l'intention de le gagner.» Le coup est jouable. Il y a six ans, officialisant son entrée dans le tournoi contre le même adversaire, c'est déjà ce qu'elle avait fait.
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<BR>Au pays de Galles, l'Italie fait face
<BR>Match nul 18-18: premier déplacement sans défaite pour les Transalpins.
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<BR>Par Serge LOUPIEN
<BR>lundi 13 mars 2006
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<BR>l y a quinze jours, à l'issue du match France-Italie à Saint-Denis, Pierre Berbizier mettait l'accent sur la performance de l'ouvreur de la Squadra Azzurra (et de Perpignan) Ramiro Pez, qui, par la qualité de son jeu au pied, avait permis non seulement de maintenir les Bleus sous pression pendant 40 minutes mais surtout de mener au score (12-8) à la mi-temps. Samedi, pourtant, contre le pays de Galles à Cardiff, le successeur de Diego Dominguez a failli. Et les 14 points qu'il a abandonnés en route (trois pénalités, une transformation et un drop ratés) ont pesé lourd à l'arrivée. Car, sans la maladresse inhabituelle de leur buteur, les Italiens auraient réussi l'exploit de battre les Gallois en leur propre Millennium Stadium. L'endroit précis où, la saison précédente, ces derniers ont remporté le Grand Chelem contre l'Irlande, dans une liesse populaire indescriptible après vingt-sept ans de disette. Dans le même temps, désintégrée à Rome par la France, l'Italie se voyait offrir la cuiller de bois. C'est dire les progrès accomplis par l'équipe transalpine depuis que l'entraîneur français a succédé à John Kirwan.
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<BR>Héroïsme. Car si l'Italie n'a pas battu le champion sortant (qui n'est pas au mieux, il est vrai), elle n'a pas non plus cédé face à lui. Et le 18-18 obtenu à Cardiff met ainsi un terme à une série de défaites équivalant au nombre des matchs qu'elle a disputés à l'extérieur, depuis son intégration dans le tournoi 2000.
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<BR>Au coup de sifflet final, les joueurs de Marco Bortolami ont donc fêté ce nul comme une victoire, le capitaine italien lui-même résumant la satisfaction générale : «Nous nous améliorons à chaque nouvelle sortie et notre défense est de plus en plus performante.»
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<BR>Pierre Berbizier, de son côté, n'a pas cherché à dissimuler le plaisir que lui ont apporté ses joueurs, au comportement souvent héroïque, à l'image de celui affiché par les deux pensionnaires du Stade français : le centre Mirco Bergamasco (élu «homme du match») et le flanker Sergio Parisse. «Ils ont montré beaucoup de bravoure, a admis le théoricien de Pinas ; notamment en première mi-temps, lorsqu'ils étaient dominés.»
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<BR>«Bravoure», c'est également le mot choisi par Scott Johnson pour décrire le comportement des Italiens. Mais l'entraîneur gallois par intérim d'ajouter néanmoins, avec une pointe de regret : «Nous aurions dû boucler ce match bien avant la mi-temps.»
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<BR>Marge de progression. Reste que parmi les six participants au tournoi l'Italie est celui qui affiche la marge de progression la plus spectaculaire et peut désormais se targuer d'inspirer un infini respect à ses concurrents. D'autant que lors de ses trois premiers matchs (Irlande, Angleterre, France) elle a viré en tête à l'heure de jeu ; cette fois encore, Stephen Jones, l'ouvreur gallois, n'égalisant qu'à la 58e.
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<BR>Samedi prochain, l'Italie reçoit l'Ecosse, battue à Dublin 15-9. «Ce match, assure Marco Bortolami, la Squadra a bien l'intention de le gagner.» Le coup est jouable. Il y a six ans, officialisant son entrée dans le tournoi contre le même adversaire, c'est déjà ce qu'elle avait fait.
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<!-- BBCode Quote Start --><TABLE BORDER=0 ALIGN=CENTER WIDTH=85%><TR><TD><font size=-1>Quote:</font><HR></TD></TR><TR><TD><FONT SIZE=-1><BLOCKQUOTE>
<BR> 13-03-2006 alle ore 14:47, RobertoD wrote:
<BR>Oltre al gioco meno falloso, mi pare che finalmente si sia iniziato a placcare l'avversario.
<BR></BLOCKQUOTE></FONT></TD></TR><TR><TD><HR></TD></TR></TABLE><!-- BBCode Quote End -->
<BR>
<BR>E' proprio perché il gioco funziona meglio che i falli sono di meno... se il sostegno non arriva in tempo il "tenuto" ed il calcio é inevitabile, ma io mi riferisco alle risse spesso viste in passato (ultimo episodio a genova contro i Pumas) segno sempre di nervosismo e frustrazione , che quest'anno sono mancate del tutto!
<BR> 13-03-2006 alle ore 14:47, RobertoD wrote:
<BR>Oltre al gioco meno falloso, mi pare che finalmente si sia iniziato a placcare l'avversario.
<BR></BLOCKQUOTE></FONT></TD></TR><TR><TD><HR></TD></TR></TABLE><!-- BBCode Quote End -->
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<BR>E' proprio perché il gioco funziona meglio che i falli sono di meno... se il sostegno non arriva in tempo il "tenuto" ed il calcio é inevitabile, ma io mi riferisco alle risse spesso viste in passato (ultimo episodio a genova contro i Pumas) segno sempre di nervosismo e frustrazione , che quest'anno sono mancate del tutto!
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<!-- BBCode Quote Start --><TABLE BORDER=0 ALIGN=CENTER WIDTH=85%><TR><TD><font size=-1>Quote:</font><HR></TD></TR><TR><TD><FONT SIZE=-1><BLOCKQUOTE>
<BR> 13-03-2006 alle ore 13:22, madameweb wrote:
<BR>E' buffo che anche loro ci chiamino transalpini... ma la storia la conoscono? (gallia cis-transalpina)
<BR></BLOCKQUOTE></FONT></TD></TR><TR><TD><HR></TD></TR></TABLE><!-- BBCode Quote End -->
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<BR>"Transalpino" significa "oltre le Alpi": questione di semantica, non di storia. Per noi sono loro oltre le Alpi, per loro siamo noi.
<BR>
<BR>La Gallia cis- e transalpina l'hanno chiamata cosí i Romani perché era rispettivamente al di qua e al di lá delle Alpi rispetto a Roma.
<BR> 13-03-2006 alle ore 13:22, madameweb wrote:
<BR>E' buffo che anche loro ci chiamino transalpini... ma la storia la conoscono? (gallia cis-transalpina)
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<BR>"Transalpino" significa "oltre le Alpi": questione di semantica, non di storia. Per noi sono loro oltre le Alpi, per loro siamo noi.
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<BR>La Gallia cis- e transalpina l'hanno chiamata cosí i Romani perché era rispettivamente al di qua e al di lá delle Alpi rispetto a Roma.
"It ain't over till the fat man spins!" - David Gower, 2005